Le Maroc a mis en place une nouvelle agence chargée de réglementer l’industrie légale du cannabis, qui, selon certains, pourrait devenir la plus importante d’Afrique du Nord d’ici 2020.
Le Parlement a approuvé une nouvelle loi plus tôt cette année
Le Parlement a approuvé une nouvelle loi au début de l’année. Cette loi vise à réglementer la culture et l’utilisation du cannabis à des fins médicales et scientifiques. La loi a été approuvée par le parlement le 30 juin 2019.
Le gouvernement marocain prend des mesures pour légaliser le cannabis médical par voie législative afin de lutter contre le trafic de drogue et de faciliter la recherche à des fins médicales.
Le projet indique que l’agence est chargée de lutter contre le trafic de stupéfiants et de faciliter la recherche à des fins médicales.
Le Maroc a créé une agence de régulation chargée de superviser la culture, la transformation et la vente de cannabis à des fins médicales dans le pays.
Le projet de loi stipule que l’agence sera chargée de lutter contre le trafic de drogue et de faciliter la recherche à des fins médicales. Il autorise également les particuliers à cultiver jusqu’à 20 plantes sur leur propriété ou dans une coopérative agricole.
Au Maroc, le cannabis est illégal mais largement toléré dans les zones rurales tant qu’il n’est pas cultivé illégalement.
L’agence disposera de son propre budget, qui pourra être complété par des contributions de donateurs et d’institutions.
Le Maroc va avoir une industrie légale du cannabis. Elle est mise en place par le ministère de l’agriculture, de la pêche et du développement rural.
L’agence disposera de son propre budget, qui pourra être complété par des contributions de donateurs et d’institutions désireuses de soutenir ses activités. Le montant initial de 1,5 million de dollars devrait augmenter au fil du temps, à mesure que l’agence élargit son champ d’action ; cela pourrait se traduire par une allocation supplémentaire de fonds en 2020-2021, si nécessaire, selon Morocco World News (MWN).
Le directeur général de la nouvelle Autorité de régulation du cannabis (ACA) a déclaré à MWN que son équipe prévoit d’établir un réseau avec des agences similaires dans le monde entier afin qu’elles puissent partager des informations sur les meilleures pratiques concernant la réglementation de la production et du commerce du cannabis à l’échelle mondiale.
Elle sera gérée par un conseil d’administration de neuf membres choisis par le Premier ministre.
Le Conseil d’administration sera responsable de la gestion de l’Agence, y compris :
- La sélection de son directeur exécutif ;
- La nomination d’un directeur exécutif adjoint.
Le Maroc possède la plus grande industrie du cannabis en Afrique du Nord, et peut-être même dans le monde, selon l’UNODC.
Le Maroc possède la plus grande industrie du cannabis d’Afrique du Nord, voire du monde, selon l’ONUDC.
L’ONUDC estime que la culture illégale du cannabis au Maroc représente environ 1,5 milliard de dollars par an. « Le pays contient en effet l’une des plus grandes zones de production de cannabis au monde », a déclaré M. Yousfi.
La nouvelle agence de régulation disposera d’un budget de 2 millions de dirhams marocains (190 000 dollars), qui sera utilisé pour la recherche sur les produits médicinaux à base de cannabis ainsi que pour la mise en œuvre de programmes visant à lutter contre le trafic de drogue et la dépendance chez les jeunes âgés de 10 à 24 ans présentant des cas inhabituels comme la schizophrénie et l’autisme, selon la presse locale
L’agence devrait mettre en place des stratégies modernes pour résister aux cultivateurs et aux trafiquants illégaux, dont on pense qu’ils sont beaucoup plus nombreux que ceux qui cultivent légalement du cannabis.
L’agence devrait mettre en œuvre des stratégies modernes pour résister aux cultivateurs et trafiquants illégaux, qui seraient bien plus nombreux que ceux qui cultivent légalement du cannabis.
L’agence de régulation jouera un rôle essentiel dans la protection de l’environnement et de la santé des usagers et dans la prévention de la consommation illégale de cannabis ainsi que de la culture et du trafic.
Conclusion
L’agence devrait mettre en place des stratégies modernes pour résister aux cultivateurs et trafiquants illégaux, qui seraient bien plus nombreux que ceux qui cultivent légalement du cannabis comme la thailande au debut de l’année.